La mère des soupirs

À Paris seulement se rencontrent ces créatures au visage candide qui cachent la dépravation la plus profonde, les vices les plus raffinés, sous un front aussi doux, aussi tendre que la fleur d'une marguerite.

dimanche 31 juillet 2011

Par Yamina Djarir
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Otto Ubbelohde (1867-1922)

Publié par Étrange lucarne à 13:18 Aucun commentaire:
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samedi 30 juillet 2011

Alice

Par Yamina Djarir

Publié par Étrange lucarne à 17:59 Aucun commentaire:
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Arnold Böcklin (1827-1901)

Publié par Étrange lucarne à 12:34 Aucun commentaire:
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vendredi 29 juillet 2011

Félix Vallotton (1865-1925)




Publié par Étrange lucarne à 13:08 Aucun commentaire:
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Maurice Berty (1884-1946)

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Wanda Gág (1893-1946)


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jeudi 28 juillet 2011

Denise

Par Yamina Djarir

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Hasui Kawase (川瀬 巴水) (1883-1957)


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mercredi 27 juillet 2011

Carlos Schwabe (1866-1926)





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mardi 26 juillet 2011

Violetta

Par Yamina Djarir



Publié par Étrange lucarne à 23:52 Aucun commentaire:
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Edmond Dulac (1822-1853)








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Qui êtes-vous ?

Étrange lucarne
Elle n'escalade jamais les nuages et elle ne se promène pas sur les vents. Sur son front, pas de diadème. Ses yeux, si on pouvait les voir, ne paraîtraient ni doux, ni perçants; on n'y pourrait déchiffrer aucune histoire; on n'y trouverait qu'une masse confuse de rêves à moitié morts et les débris d'un déliré oublié. Elle ne lève jamais les yeux; sa tête, coiffée d'un turban en loques, tombe toujours, et toujours regarde la terre. Elle ne pleure pas, elle ne gémit pas. De temps à autre elle soupire inintelligiblement. Sa soeur, la Madone, est quelquefois tempétueuse et frénétique, délirant contre le ciel et réclamant ses bien-aimés. Mais Notre-Dame des Soupirs ne crie jamais, n'accuse jamais, ne rêve jamais de révolte. Elle est humble jusqu'à l'abjection. Sa douceur est celle des êtres sans espoir...
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