La mère des soupirs

À Paris seulement se rencontrent ces créatures au visage candide qui cachent la dépravation la plus profonde, les vices les plus raffinés, sous un front aussi doux, aussi tendre que la fleur d'une marguerite.

jeudi 29 mars 2012

Henri Rivière (1864-1951)

Ouvrier plombier travaillant sur la Tour Eiffel

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samedi 10 mars 2012

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lundi 5 mars 2012


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Étrange lucarne
Elle n'escalade jamais les nuages et elle ne se promène pas sur les vents. Sur son front, pas de diadème. Ses yeux, si on pouvait les voir, ne paraîtraient ni doux, ni perçants; on n'y pourrait déchiffrer aucune histoire; on n'y trouverait qu'une masse confuse de rêves à moitié morts et les débris d'un déliré oublié. Elle ne lève jamais les yeux; sa tête, coiffée d'un turban en loques, tombe toujours, et toujours regarde la terre. Elle ne pleure pas, elle ne gémit pas. De temps à autre elle soupire inintelligiblement. Sa soeur, la Madone, est quelquefois tempétueuse et frénétique, délirant contre le ciel et réclamant ses bien-aimés. Mais Notre-Dame des Soupirs ne crie jamais, n'accuse jamais, ne rêve jamais de révolte. Elle est humble jusqu'à l'abjection. Sa douceur est celle des êtres sans espoir...
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